À ce moment-là, j’ai immédiatement su que ni lui, ni aucun homme ne lèverait plus jamais la main sur moi! Cela faisait à peine trois mois que je faisais partie d’Al-Anon, et mon estime de soi avait déjà considérablement accru. L’amour inconditionnel que j’avais reçu des membres lors de mes réunions – l’acceptation et les visages chaleureux et souriants − avait contribué à améliorer mon sentiment de valeur personnelle. Même au stade préliminaire, ces senti-ments suffisaient à me donner la force de le quitter. Ma Marraine m’a expliqué que, dans son enfance, l’alcoolique avait l’habitude de |
Par Carolyne C., Floride |
Permission accordée par The Forum, Al-Anon family Group Headquarters, Inc, Virginia Beach, VA.